L'écran,
c'est la fenêtre dans laquelle je plonge
Il
y a bien le corps qui chute, c'est un poids
Qui
se libère
Il
y a bien... l'âme, l'esprit
Une
transparence
Qui
flotte, flotte, et sourit.
D'aise,
aise, sur des ailes
Plus
rien à faire...
Moi plonger, ça me fait toujours peur, peur de ce qui est irrémédiable, je crois.
RépondreSupprimerSurtout ne rien forcer... tant que la peur agit rien de possible !
RépondreSupprimerC'est quand on n'attend plus rien, ni de bon, ni de mauvais, que le plongeon se réalise.
Sûrement oui, mais cette peur n'est-elle pas liée à l'instinct de survie ?
RépondreSupprimerQue devient l'instinct de survie lorsque l'esprit est totalement détaché, tu disais "plus d'attente" ?
RépondreSupprimerL'esprit est-il alors en conflit avec le corps ?
S'il y a conflit, il y a attente, attente de la résolution du conflit de la cessation de la souffrance.
RépondreSupprimer"sans attente" c'est sans conflit ; l'instinct de survie s'est tu.