mercredi 21 juin 2017

D'aise sur des ailes

L'écran, c'est la fenêtre dans laquelle je plonge
Il y a bien le corps qui chute, c'est un poids
Qui se libère
Il y a bien... l'âme, l'esprit
Une transparence
Qui flotte, flotte, et sourit.


D'aise, aise, sur des ailes
Plus rien à faire...

5 commentaires:

  1. Moi plonger, ça me fait toujours peur, peur de ce qui est irrémédiable, je crois.

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  2. Surtout ne rien forcer... tant que la peur agit rien de possible !
    C'est quand on n'attend plus rien, ni de bon, ni de mauvais, que le plongeon se réalise.

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  3. Sûrement oui, mais cette peur n'est-elle pas liée à l'instinct de survie ?

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  4. Que devient l'instinct de survie lorsque l'esprit est totalement détaché, tu disais "plus d'attente" ?
    L'esprit est-il alors en conflit avec le corps ?

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  5. S'il y a conflit, il y a attente, attente de la résolution du conflit de la cessation de la souffrance.
    "sans attente" c'est sans conflit ; l'instinct de survie s'est tu.

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