Pauvre petit homme !

 
Non mais regardez moi ça 
Ce niveau d'ignorance !
D'où croit-il qu'il est sorti celui-là 
Des éprouvettes de ses laboratoires ?
De ses connaissances livresques ?
Parce qu'il escalade les montagnes
Croit-il que la montagne lui appartient
Lui obéit ?
 
L'homme est né d'une planète de plantes
Et les plantes soignent la terre depuis toujours
Médecine véritable qui est celle de la communication
Entre les parties
Et lui que fait-il ?

Il détruit les écosystèmes à l'aide de sa chimie
Et lorsqu'ayant disséqué, il découvre des propriétés
Qu'ils isolent toujours plus
Cela se prétend l'inventeur.

Source

Civilisés qu'ils disent...

 

Les gens qui ont une aisance financière

Du pognon, quoi !

Ont l'arrogance de ceux qui se sentent à l'abri.

Et de leur citadelle, ils jugent le pauvre monde

Jetant parfois des miettes

Envoyant des armés pour régenter

Armés de curés aussi et autres moralistes

Et même... tiens toutes ces horreurs !

SAUVAGES, au cœur des ZOOS HUMAINS Documentaire 24 01 2019

"C'est la guerre", il l'a dit !

Celui-là est en guerre
Il le proclame haut et fort
Comme s'il nous apprenait quelque chose !

Celui-là est en guerre contre le peuple
De son bras armé des polices, il frappe
Nous n'oublierons pas cela
Les éborgnés, les mains arrachés, les violences
Et les morts ignorés.

Celui-là est en guerre au nom du capital
Assoiffés les petits, les sans-riens, des riens !
Ça aussi, il l'a dit
En guerre, non contre le chômage, mais contre les chômeurs
« Y'a cas ! qu'à traverser la rue ! »
Nous n'oublierons pas.

En guerre contre le tissu social, les solidarités
Les femmes, le respect, la tolérance, le partage
La nature, oui !
Celui-là est en guerre.

Votre guerre, monsieur, je n'en veux pas
Je ne suis en guerre contre rien, pas même le virus
Pas même votre petite personne...

VOIR, cela se suffit et c'est un autre monde
Une autre dimension où chaque chose est à sa juste place
Et décide de l'acte juste.
Voilà !

Impuissance et arrogance

D'où vient la désespérance ?

De ce sentiment d'impuissance si grand

Qui ne peut être que dans l'illusion de la séparation.

D'où vient l'arrogance ?

Pareil, de l'illusion de séparation

Le penseur dit : je vais agir sur mon objet d'observation

Et comme cela est impossible

On n'agit pas sur ce que l'on est

Qui jaillit d'instant en instant

Cela lui donne une démarche à la "Aldo Maccione".

Ça roule des mécaniques, ça s'impose, ça insiste

Cela veut prendre l'autre, en faire "mon objet à moi"

Que je prends et que je jette.

Déjà publié ici 

Aldo

De l''inattention

Ils te parleront des erreurs de la nature

Et des miracles de la science 

Oui, ils feront cela !

La boîte de Pandore de la guerre 

C'est naturel ...

Je vois l’arrogance, la mienne
Je vois aussi la beauté de ce chemin
Et l’amour qui grandit.

C’est curieux
C’est de plus en plus difficile
Mais disant cela tout devient si facile.

Stuart Redler

Cette chose incroyable ...

Il y a cette chose incroyable

Qui fait que pour les esprits qui restent

Dans l'ignorance de leur propre conditionnement

N'existe que ce qui participe de leur représentation

Du monde

Sorti de ce cadre, ils disent l'illusion.

Ils diront

L'imaginaire qui pour eux n'est qu'une fantaisie, duperie

Amusement, distraction, fuite

Écrire des histoires qui n'ont rien à voir avec la Réalité.

Pour ces esprits conditionnés à la « bonne forme »

D'un coté LA RÉALITÉ et de l'autre l'illusion

Ce qui est vrai, ce que ne l'est pas

Ce qui est normal, ce qui est de la folie.

Ce qui est illusoire ? Cette dichotomie en esprit

Qui fait une réalité UNIQUE, celle d'un consensus qui s'impose

Et qui rejette « tout autre chose » qui pourtant

Se présente en esprit.

Ainsi on peut voir des personnes croire en dieu et à tous ses saints

Pointer du doigt l'artiste libéral, celui qui pense par lui-même

Celui qui se vit dans sa propre relation au monde

Véritable chercheur qui en vérité ne sait pas.

Découvrir toujours...

Mon amour, comme je découvre sans cesse

Ton visage, ton sourire, ta profonde tristesse. 

La prudence

De l'arrogance

Cet homme là savait tout

Et puis il avait dieu pour lui

Ainsi il jugeait beaucoup

De l'autre bien entendu

De la femme, de l'enfant

Et quand il lui arrivait de se pencher

Sur lui, il pleurait beaucoup.

 Vedran Vidak

De l'arrogance

L'arrogance ?

Elle est, sans aucun doute
Il faut l'assumer, ou se taire.
 
L'assumer, c'est rencontrer le tranchant
Impossible de sortir victorieux de cette épreuve
Mais si tu ne succombes pas
Tu es en mesure d'avancer.

The snake girl.

Un si bel oiseau

Puisque le plus doux porte aussi aux reproches
Et encore aller faire sa cour, quelques pas plus loin
Comme le paon dans le parc de la grande ville
Puisqu'il en est ainsi autant se coucher là
Sans plus rien dire...

L'humain...

Il tue les loups
Il tue les requins
Et devant les forces de la nature
Qui rééquilibrent les tensions
Dont il est aussi responsable
Pour ne pas dire coupable
Que seul l'être conscient peut endosser
La culpabilité
Devant ces forces, il est au spectacle.


« Ohhhh my god !  OUUUHHHOUUU »

dieu par-ci, par-là

Quand ils te parlent de dieu c'est toujours en secouant leurs chaînes, comme les revenants, histoire d'effrayer les vivants.

C'est rigolo !

Comme ils parlent tu sens bien l'arrogance de celui, de celle qui pense détenir la vérité suprême.

C'est rigolo !

On dirait bien qu'ils se prennent pour dieu, lui-même.

C'est vraiment rigolo.

"Et voilà qu'ils se prennent pour des indiens !"

Nous sommes tous, et des bâtards, et des exilés

N'est-ce pas pour cela que vous vous accrochez

A vos biens matériels, à vos certitudes ?

N'est-ce-pas pour cela que l'homme

Dans ce frémissement de conscience en lui

Produit du code, de la culture

Se convaincre d'une lignée exceptionnelle

Un destin qui traverserait tous les temps

Accroché en un lieu fixe, inchangeable, inchangé 

Du dedans, contre le dehors, tous les dehors

Et finalement ce précipice entre les idéaux

Et ce qui se montre à Voir.

De l'arrogance

– C'est beaucoup d'arrogance de penser que le monde à besoin de nous, pour changer, pour être sauvé, etc. C'est le monde qui nous fait !

– C'est encore beaucoup d'arrogance que de penser que le monde se fait sans nous ! 
 

Nous nous défendons de beaucoup de choses, mais c'est à côté, comme de l’esbroufe, une forme répétitive. 
Le vrai problème nous ne le voyons pas encore, il nous fait bien trop peur. Nous le disons intérieur et le voilà dehors, nous le disons extérieur et le voilà dedans. Nous le disons invisible et le voilà visible, et vice-versa, et etc.