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mardi 31 octobre 2023

"Sans commencement ni fin"

 
En ce moment sur l’île intense, le ciel témoigne
Il est traversé de part en part par cette vacuité, plus que la lumière.

Les nuages qui passent ne peuvent voiler sa présence
Ils resplendissent en un scintillement infini... 

Là où prennent naissance ces mots 
 "Sans commencement ni fin".





vendredi 27 octobre 2023

Du vivant

 

J'ai laissé la peine
S'écouler dans les larmes
Leur goût salé parlait
De infiniment vivant.




jeudi 18 juin 2020

Entre les mailles du filet...


Qu'il file à vive allure à lui courir après
Qu'il s'arrête et fasse ennui mortel
Le temps...

Un instant dans l'une ou l'autre position
En esprit
Tu peux !

Oui, tu as ce pouvoir
De glisser entre les mailles du filet
Libre, parfaitement, dans cet espace.

Qui s'ouvre là, infini...


dimanche 13 janvier 2019

De la respiration

La tension fait la nécessité
Plus de tension, plus de nécessité
Alors s'ouvre un champ
Qui semble illimité
Peut être bien qu'il l'est.

Paysages cristallins

 
En des couleurs si vives
Des cordes pincées
Des tubes d’air
Des poches résonnent
Des parois vibrent.
 
Tout l’univers… 
Dans cette tête qui respire. 





mardi 13 mars 2018

Ton corps parle à mon corps


Incommensurable rapport entre l'infiniment petit et l'infiniment grand
Que ce qui est grand à une certaine échelle est petit à une autre échelle
Et vice-versa
De quoi chambouler la raison qui ne peut appréhender qu'une échelle à la fois
Au mieux envisager le passage de l'une à l'autre.

Dans la conscience de "ton corps parle à mon corps"
Le champ de perception s'ouvre à l'infini.





lundi 26 février 2018

Jamais fini, de l'infini...

Ce qui ne peut se réaliser en l'un
Ce qui ne peut se réaliser en plusieurs
Ce qui ne peut se réaliser au niveau d'une société
Ce qui ne peut se réaliser au niveau d'une espèce
Se trouvera réaliser à un autre niveau
Dans lequel, l'un, le plusieurs, la société
L'espèce sont consumés.

Par ce feu de l'amour
Sans fumée et sans résidu ! 



vendredi 7 juillet 2017

Vortex

La pluie a cessé, et le vent aussi, soleil
J'étais dans la cour lorsque c'est arrivé
Pas de doute, nous venions d'accoster
En quelques baies abritées
Un repos avant de reprendre le voyage
Interstellaire.


La terre et tout le système solaire
Se déplaçant en spirale
Dans cette immensité jamais finie
Que nous nommons l'espace
Ce vide plein d'énergie
Potentiels infinis.




mercredi 25 janvier 2017

Ce qui se passe dedans est la même chose

Je vois...
Une infinité de portes
Qui s'ouvrent et se ferment
A l'infini, le jamais fini.

Rien de tragique
Pour celui qui voit
Dans ce mouvement
Ouverture, fermeture.

L'onde circule
Au centre
Immobile. 
 

vendredi 23 décembre 2016

Les mots et l'effet lumière

La loi de causes à effets implique un développement linéaire, avec un début et une fin. Les plus malins, ont raccordé les deux bouts pour en faire un cercle, ils parlent de cycles, naissance et mort, l'un meurt pour que l'autre naisse.
Tout ça à plat, le monde en 2D. Sur le sol plat de la planète dessiner des cercles qui se croisent, parallèles, des cercles bien à plat.

Aussitôt que l'on rajoute une dimension ce modèle de la loi de cause à effet ne tient plus la route.
Et me direz-vous pourquoi rajouter une dimension ?
Tout simplement parce que dans certains états de conscience, ils sont !
L'esprit médusé par la beauté du spectacle, peu à peu apprend à se repérer, à en dire quelque chose, même si ce n'est pas grand chose.
Aussi, c'est bien dans cette condition de connexion à sa propre relation au monde, que la parole, que les mots peuvent transporter quelque chose de cette perception plus profonde d'un réel infini (jamais fini).

jeudi 1 décembre 2016

En esprit, libre

Ne pas réduire à un empêchement
Ce qui est si beau, si vaste
Infini, jamais fini.

Ce qui inconnaissable
Que je fais le vœux de connaître.

vendredi 18 novembre 2016

L'existence du devenir

C'est quoi cette histoire que l'unité, serait penser de même, adhérer aux mêmes concepts, mêmes croyances ?
Voilà le grand projet de la mondialisation.
La grande église orchestrant une symphonie unique, prétendant un ordre mathématique, fini, alors que l'infini du vivant ne cesse de s'accomplir.
Ouvert, parce que toujours inachevé, l'unité qui n'est pas de l'ordre du point, mais de l'ouverture...
Ce n'est pas stable et pourtant c'est ça qui maintient tout.