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mardi 5 juillet 2022

Un monde plus doux ?

 

Qu'est-ce qui porte
A vouloir un monde plus doux, plus paisible ?

Le respect de la vie ?
Ah mais la nature si violente est infiniment respectueuse de la vie
Elle ne cesse de créer.

Un manque d'énergie peut-être...
« Je suis si petit, s'il vous plaît, madame, monsieur, ne me faites pas de mal... »





jeudi 21 février 2019

Quelle violence !

Quand le bébé sort du ventre de sa mère
Certains ont pour habitude de lui donner une claque
Dans le dos pour l'inciter à respirer plus vite.

Je crois bien qu'entre hier et ce jour
Dans ce rêve éveillé j'ai retrouvé cette claque
Et diantre je suis née à nouveau.

Quelle violence ! 



samedi 8 décembre 2018

Le salaire de la peur

Le salaire de la peur
Le sal-air !

Apprenons à nos enfants
Tous nos enfants
A ne pas dépendre de ce salaire-là !

Permettons-leur de découvrir en eux
Redécouvrir la force paisible
Qui ne peut être attaquée par aucun.

Au-delà de tous les abus de pouvoir
Tout simplement parce que la peur
A quitté. 


lundi 10 septembre 2018

Des poches pleines

Peux-tu comprendre ?
Ce n'est pas la nature qui fait la misère !
La nature procède à de grands  nettoyages, éternel vivant.

L'homme lui seul est la cause de ces désastres
L'homme voué à ces systèmes de pouvoirs
Corrompus, toujours !!!



dimanche 15 octobre 2017

Faux amis

C'est la relation qui est décisive
Et si dans la relation l'un prétend dire à l'autre
Ce qu'il doit faire, ce qu'il doit voir
Niant le sens en lui.
 
Il n'y a plus de relation, mais un rapport conflictuel
En vue d'obtenir la soumission par la domination.






lundi 31 juillet 2017

De la violence

Tant de violence ... 
Mais pourquoi donc les hommes sont si violents ?
Et ce dieu qui soit disant serait le créateur ?
Ah oui, son pendant le diable
Misère !
Que de violence dans ces concepts !


Ici les noirs, ici les indiens, et encore cet ouvrier blanc
Et le mendiant, et l'homosexuel et l'enfant et l'animal !
Que de violence dans les actes
Et ces regards et les portes qui claquent
Que de violence enfermée dans les corps.


Oh mon doux, mon tendre, mon ami
Je crois que cette planète, vaisseau
Du grand vaisseau-mère, le système solaire
Est une école, l'école de la vie, des émotions
Des instincts, et que parfois la classe est bien mauvaise.


Oui, mauvais élèves, mauvais maîtres, alors...
Peut-être que rien n'est ainsi...




jeudi 20 avril 2017

Les oreilles bouchées

C'est violent, je sais combien cela est violent
Non pas pour la nature, mais pour mes pairs
Quand je dis que les requins, non il n'y a rien à faire
S'ils sont là sur les côtes, c'est qu'il y a la raison d'être
La nature ne fait qu'au plus juste
Qu'il ne s'agit que de renoncer à des loisirs
Ou pratiquer en connaissance de cause
La nature n'est pas un terrain de jeu
La vie n'est pas une assurance tout risque.

Et c'est violent encore, enfin pour eux
Quand je fais remarquer que sur la route
Depuis le début de l'année il y a eu 17 tués
Et je ne sais combien d'handicapés suite à ces accidents
Que vraiment l'espèce humaine a un sérieux problème !

Ah et puis, il y a toutes ces richesses
Enfin, c'est ce qu'ils disent des couleurs, les parfums de la culture
Les traditions, toutes les traditions, et surtout les culinaires
Mais enfin !
Tous ces parfums et ces couleurs sont dans la nature
Faut-il pour les apprécier, détruire la nature ?
Faut-il s'enorgueillir de nos soi-disant compétences à transformer
Oh déesse de l’agroalimentaire aboutissant de cet état d'esprit.

Mais bon, je ne viens pas vous chercher
Et j'accepte sans sourciller cette solitude
Qui n'en ait une qu'au regard des relations sociales
Oh chant vibratoire, ils ne veulent pas de vague
Je suis cette vague.

mardi 28 mars 2017

Le souffle de l'âme

Il faut que la femme soit niée jusque dans sa chair pour que la violence puisse se déchaîner dans ses formes les plus cruelles et perverses.
Pourquoi la femme ?
La mère, le ventre de la mère qui a porté, les seins de la mère qui ont nourri, les bras de la mère qui ont consolé.
C'est encore la maîtresse dans laquelle l'homme se glisse, et laisse aller son plaisir.
Oui, vraiment il faut que mère, sœur, épouse, amante soient niées jusque dans la chair pour que la violence se déchaîne en d'autant formes cruelles et perverses.

vendredi 24 mars 2017

Pédophilie et églises

Pourquoi les crimes sexuels qui sont commis par des prêtres ne sont pas dénoncés et jugés ?
A cause de la peur du scandale. Jésus n'a-t-il pas dit : « malheur par qui le scandale arrive » ? (Voir vidéo ci-dessous)

Un tel niveau de mauvaise foi, c'est à peine croyable ! Faire porter par les victimes le poids de la culpabilité de dénoncer, les condamner deux fois ! La troisième étant lorsqu'on accorde le pardon à ces prédateurs sexuels sans que leurs crimes aient été reconnus !
Bien entendu, tout cela n'a rien à voir avec l'histoire et la parole de ce Jésus, ce révolutionnaire en chair. Malheur à ceux par qui le scandale arrive !





jeudi 23 mars 2017

Dans les mots...

Un exemple, les enfants à l'école viennent de s'installer, les 9 autour de la grande table, tous du même âge, 7 ans, ils piaillent, je parle, ils ne m'entendent pas, j'ai mal à la tête, etc.
Ça bout à l'intérieur, je contrôle l'énergie le plus longtemps possible, essayant de négocier avec les marmailles des conditions pour se mettre au travail, sans succès. Je finis par élever la voix, menacer, punir.
A aucun moment, je n'ai admis que les enfants sont dans ce mouvement de turbulence, admis que cela me met en difficulté. J'ai sauté à pied joint, dans le déni, tendant vers ce qui devrait être, fuir cette situation inconfortable qui remet en cause.
Alors que dans l'acceptation de ce qui est, mouvement interne lié je pense à l'amour, quelque chose d'autre devient possible et c'est la fin de la violence sans qu'aucune volonté ne vienne s'en charger.
A tout moment cela se peut, il n'est jamais trop tard.

Il y a dans tes mots présents une forme de prolongement à ma réponse sur la souffrance.
Il n'y a que l'amour qui puisse effacer, le réel lâcher prise est un geste de cet « amour-là ».
L'amour pour la vie et pour l'instant, l'amour pour ce qui est à vivre déracine le germe de la violence, la souffrance en est un beau aussi.
L'acceptation est effacement.
L'effacement est légèreté et spontanéité, liberté.