En cette émotion, à la frontière de l'impossible
Tressaillement
de l'âme, c'est physique
Émoi,
et moi...
mercredi 19 juillet 2017
Mais où es-tu, petit oiseau ?
Regarde
bien
Comment les gens te veulent ici
Et pas là
En des félicitations ou des reproches
Des acquiescements ou des remarques
Alors voilà, tu sais où tu es...
Comment les gens te veulent ici
Et pas là
En des félicitations ou des reproches
Des acquiescements ou des remarques
Alors voilà, tu sais où tu es...
mardi 18 juillet 2017
Culture ?
La
forme interroge la forme, c'est inévitable
Puisqu'il y a identification à ces représentations
D'un réel qui nous échappe
Dictature de l'apparence en tellement d'insolence.
Voici que la forme se pavane sur le podium
Et la qualité de ce vêtement qui recouvre la forme
Plus ou moins, parfois totalement, et puis, plus du tout
Comedia del arte !
Non pas ce pull, mais celui-ci
Court, long, large, moulant
En ces couleurs, non pas celles-ci
Comedia !
Et puis les enfants là-bas qui vont en haillons
C'était déjà comme ça pour la petite marchande
D'allumettes ou Cosette
Et puis les enfants qui travaillent à 5 ans.
Quelle tragédie au final.
Puisqu'il y a identification à ces représentations
D'un réel qui nous échappe
Dictature de l'apparence en tellement d'insolence.
Voici que la forme se pavane sur le podium
Et la qualité de ce vêtement qui recouvre la forme
Plus ou moins, parfois totalement, et puis, plus du tout
Comedia del arte !
Non pas ce pull, mais celui-ci
Court, long, large, moulant
En ces couleurs, non pas celles-ci
Comedia !
Et puis les enfants là-bas qui vont en haillons
C'était déjà comme ça pour la petite marchande
D'allumettes ou Cosette
Et puis les enfants qui travaillent à 5 ans.
Quelle tragédie au final.
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NDE
"Ils"
parlent de cette expérience
D'amour incommensurable
Peu importe qu'il y ait eu un être
Pour les accueillir, ou encore la lumière
Tellement, tellement, et pourtant n'éblouit pas
"Ils parlent" de...
Cessation de toutes tensions
De tout désir, de toutes attentes
De tout conflit
Les termes de la dualités se fondent
L'un dans l'autre, amour bien sûr
Puisque plus rien ne s'opposent.
Les formes se dissolvent
Non pas dans une grand soupe
Ni dans les bras du père ou de la mère, non !
Les particules retrouvent leur nature quantique
Onde, onde, onde... vibration
Claire conscience.
D'amour incommensurable
Peu importe qu'il y ait eu un être
Pour les accueillir, ou encore la lumière
Tellement, tellement, et pourtant n'éblouit pas
"Ils parlent" de...
Cessation de toutes tensions
De tout désir, de toutes attentes
De tout conflit
Les termes de la dualités se fondent
L'un dans l'autre, amour bien sûr
Puisque plus rien ne s'opposent.
Les formes se dissolvent
Non pas dans une grand soupe
Ni dans les bras du père ou de la mère, non !
Les particules retrouvent leur nature quantique
Onde, onde, onde... vibration
Claire conscience.
lundi 17 juillet 2017
Infinitesimal...
Je
t'écoutais et je t'écoute encore
Quoi que je fasse, où que j'aille
C'est là en arrière fond, profond
Silencieux
Cela écoute...
Je vois...
Au-travers de la déformation que provoquent
Toujours les mots, aussi précis soient-ils
Je vois cette fulgurance, ce qui lui échappe
Et réclame la réalisation.
Ce quelque chose qui échappe, un résidu
On pourrait dire une erreur, infime, mais erreur quand même
Et le monde visible se construit, cherchant à se réaliser
C'est à dire à ne plus être en ces conditions si contraignantes
Feu sans fumée, ni résidu.
Quoi que je fasse, où que j'aille
C'est là en arrière fond, profond
Silencieux
Cela écoute...
Je vois...
Au-travers de la déformation que provoquent
Toujours les mots, aussi précis soient-ils
Je vois cette fulgurance, ce qui lui échappe
Et réclame la réalisation.
Ce quelque chose qui échappe, un résidu
On pourrait dire une erreur, infime, mais erreur quand même
Et le monde visible se construit, cherchant à se réaliser
C'est à dire à ne plus être en ces conditions si contraignantes
Feu sans fumée, ni résidu.
En t'écoutant...
Peut-on
se perdre ?
C'est
étonnant ce que je sens là
Qui
fait la confiance absolue
Non,
on ne peut pas se perdre
Tout
au plus s'éloigner un peu
Et
encore...
Ce
sont les récréations, rien de plus.
Mais
alors si l'on ne peut pas se perdre
C'est
que tout est écrit !
Non,
pas comme cela pourrait être
Entendu
Un
créateur et un exécuteur
Un
penseur tout puissant et une armée
D'esclaves
à son service, ce n'est pas ça.
Notre
conscience quotidienne
Si
petite, surgit dans cet intervalle
Incompressible,
entre la fulgurance de "l'idée"
Et
la lente progression du temps rendu nécessaire
A
l'exécution, la réalisation, l'incarnation
Elle
naît et meurt dans cet intervalle.
Identifiés
à cette petite flamme
Alors
que nous sommes la nuit tout autour
Profonde
et vaste, lumière noire, à l'infini.
dimanche 16 juillet 2017
L'arbre aux 4 temps
Tu
sais...
Il
est possible, aussi, que le temps
N'existe
pas, enfin...
Pas
comme cette chose qui s'imposerait
A
nous, d'une manière inexorablement cruelle
Nous
privant de ce que nous aimons
Nous
déchiquetant en tous petits morceaux.
Il
est possible que le temps soit la projection
Sur
l'écran de nos esprits, de nos peurs, regrets
Attentes,
nos souvenirs en ordre
Curieuse
chronologie, en vérité
Tu
sais...
Tous
les temps en même temps...
Au-delà
de nos peurs et nos attentes.
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